La clé du succès : la mentalité optimiste de Cole Bennett

Table of Contents

1. Introduction
2. La naissance de Lyrica Lemonade
3. Le pouvoir de la mentalité optimiste
4. L'importance des objectifs
5. La rencontre avec Rick Rubin
6. L'influence de J Cole
7. Le défi d'Atlanta
8. Le succès du Lyrica Lemonade Summer Smash
9. La leçon de persévérance
10. Conclusion

🎵 La naissance de Lyrica Lemonade 🍋

Il était environ 7 heures du matin. Je me suis réveillé pour boire un verre d'eau. J'étais allongé depuis 5 heures du matin parce que je travaillais toute la nuit. J'ai reçu un e-mail. C'était de Cole Bennett pour TEDTalk. Je n'arrivais pas à croire mes yeux. J'ai regardé à nouveau et je lisais bien. Je me suis précipité dans le salon où mon ami Bernie dormait sur le canapé. Je l'ai réveillé en criant : "Hé, on m'a demandé de faire un TED Talk !" Il s'est levé d'un bond et nous avons sauté de joie. Ensuite, j'ai appelé ma mère et je lui ai dit : "Maman, on m'a demandé de faire un TED Talk !" Elle n'en croyait pas ses oreilles. C'était un moment spécial, et je suis très reconnaissant d'être ici. Cela semble très surréaliste, donc merci à tous d'être venus. Sans oublier que Bernie et ma mère sont tous les deux dans le public aujourd'hui, c'est donc un moment que j'ai la chance de partager avec eux.

🌟 Le pouvoir de la mentalité optimiste ✨

Au cours de ma carrière, j'ai eu la chance de travailler avec des personnes incroyables, des mentors tels que Rick Rubin, Jimmy Iovine et Gary Vaynerchuk. J'ai pu collaborer avec des artistes créatifs tels que Kanye West, J Cole et Mac Miller (paix à son âme). Une chose que j'ai remarquée chez toutes ces personnes, c'est un état d'esprit commun : ce sont des résolveurs de problèmes, ce sont des penseurs optimistes. Cela m'inspire énormément et m'a beaucoup appris. Cela m'a fait réaliser que notre façon de penser et notre état d'esprit peuvent nourrir notre carrière et nous aider à changer le monde.

Les gens aiment se définir comme des optimistes ou des pessimistes. C'est une façon simpliste de dire si vous êtes un penseur optimiste ou pessimiste. Nous avons tous des jours difficiles et des jours heureux, mais ce qui transforme une mauvaise journée en une bonne journée, c'est notre état d'esprit. Nous ne pouvons pas toujours contrôler nos circonstances, mais nous pouvons contrôler notre réaction face à ces circonstances. L'optimisme est une façon positive de penser, un moyen de prioriser notre bonheur. Il y a environ 5 ans, j'étais en cours à l'école secondaire de Plano, à une heure et demie de Chicago. J'avais commencé à réaliser des vidéos musicales pour des amis et des talents locaux, et je savais que je voulais en faire plus pour la scène hip-hop de Chicago. J'étais passionné par cette scène et je me rendais à Chicago dès que j'en avais l'occasion pour assister à tous les concerts possibles. Je savais que je voulais m'impliquer davantage, alors j'ai décidé de créer un blog. Je suis rentré chez moi et j'ai commencé à écrire les idées qui me venaient à l'esprit. Ma mère était la seule personne que je connaissais qui possédait un site web, car elle possédait un bar appelé "Hard Day's". Elle n'utilisait pas vraiment son site web, mais elle en avait un. Elle était donc la personne à contacter pour créer un site web. Elle a pris contact avec le gars qui s'occupait du site web, j'ai obtenu ses coordonnées et il est venu chez moi un soir. Je me souviens d'être assis par terre dans ma cuisine pendant qu'elle se tenait debout près du réfrigérateur. C'est un détail important. Nous avons commencé à brainstormer des idées et elle a proposé le nom "Lyrica Lemonade". J'ai tout de suite trouvé que c'était parfait, ça y est, c'est le soir où Lyrica Lemonade a été créé. Le lendemain, je suis retourné à l'école et j'ai pu mettre mes idées sur papier, en ajoutant des touches de citron partout et en donnant vie à ces idées. J'étais tellement excité. J'ai encore ce bout de papier avec moi aujourd'hui. Il s'agit du papier sur lequel j'ai esquissé les contours du site web et de son apparence, la première fois que je le voyais prendre forme. Le lendemain, ou peut-être le même jour, je suis allé en classe et j'ai montré le papier à un camarade. Je lui ai expliqué mes idées et il m'a regardé sans comprendre. Il m'a dit que j'étais stupide. J'aurais pu prendre ça de deux manières. J'étais vraiment excité et dans un état d'esprit optimiste, heureux de partager cette idée qui me plaisait, et je suis tombé sur quelqu'un qui pensait négativement, dans un état d'esprit pessimiste. Mais cela m'a encouragé, cela m'a motivé. Je suis rentré chez moi ce soir-là et j'ai appelé une maison d'édition locale pour commander quelques centaines d'autocollants qui ressemblaient à ça, pour un total de vingt dollars. Le lendemain, je suis retourné à l'école et je les ai distribués à tous mes amis, aux personnes que je connaissais un peu, même à des personnes que je ne connaissais pas du tout. À la fin de la semaine, ils étaient collés partout, sur les casiers et les agendas de tout le monde. Même si les gens ne savaient pas ce que c'était, la graine avait été plantée et cela a été une expérience incroyable. Quelques mois plus tard, les choses allaient bien. Le site web était en ligne, et je rentrais chez moi tous les jours après l'école pour écrire de cinq à dix articles sur la scène hip-hop de Chicago, pour mettre en avant des talents locaux qui n'étaient pas encore connus. Je m'amusais énormément et je savais que je voulais passer à l'étape supérieure. J'ai donc décidé d'organiser un concert. Mais gardez à l'esprit que je jouais encore dans des groupes locaux, je n'avais pas d'argent et je disposais de peu, voire d'aucune ressource. Alors j'ai pensé que je pouvais organiser un concert gratuit et que les artistes viendraient se produire gratuitement. C'est ce que j'ai fait. J'ai trouvé un lieu, ou du moins une salle de répétition pouvant accueillir 90 personnes, au cinquième étage du Music Garage, et je l'ai réservée pour cinq heures au prix de 100 dollars. J'ai organisé l'événement et pendant toute la soirée, nous avons accueilli environ 300 personnes. C'était incroyable, la meilleure expérience qu'on puisse imaginer. Cela m'a fait réaliser que c'était quelque chose d'exceptionnel, quelque chose que je pouvais faire, beaucoup plus grand que ce que j'avais imaginé. Tous les objectifs que je m'étais fixés étaient toujours réalistes. C'était ma façon de ne jamais me décevoir et de toujours accomplir plus. C'était une réalisation que je n'avais jamais prévue lorsque je me trouvais dans cette salle d'étude, me demandant ce que j'allais faire un jour en déménageant à Chicago. Environ six mois plus tard, je suis devenu étudiant en deuxième année à l'Université DePaul de Chicago, en Illinois, et je vivais dans la ville dont j'avais toujours rêvé. C'était incroyable, et je me suis dit : "Maintenant, je peux vraiment le faire. Je peux être là où j'ai toujours voulu être. Je n'ai plus besoin de conduire une heure et demie chaque jour. J'y suis". J'ai commencé à recevoir des artistes chez moi tous les jours, nous faisions des interviews, je tournais des clips musicaux dans ma chambre tout le temps, en utilisant tout ce que j'avais. J'ai toujours été un élève moyen, ni trop mauvais, ni trop bon, mais quand j'étais à l'université, je voulais me surpasser, je voulais me prouver le contraire. Mes seules priorités étaient l'école et Lyrica Lemonade. J'occupais le premier rang chaque jour et j'ai terminé mon premier semestre avec une moyenne de 3,9. J'ai fait la liste des honorables et c'était mieux que tout ce que j'avais accompli. C'était une sensation vraiment géniale. Pendant ma première année à l'université, je n'avais pas vraiment de vie sociale. Je n'avais pas d'amis parce que je travaillais sans arrêt. Les quelques amis que j'avais étaient constamment déconcertés par le fait que je passais tout mon temps devant un ordinateur. Je leur disais simplement : "Je suis en mission, les gars. Vous le verrez un jour. Ça n'a peut-être pas de sens maintenant, mais ça l'aura un jour, je vous le promets". Et je continuais à travailler, car c'est tout ce que je savais faire. Ensuite, lors de ma deuxième année à l'université, j'ai emménagé dans un appartement hors campus avec trois amis. Nous étions environ huit personnes à vivre là-bas. Nous faisions de notre mieux pour nous en sortir, nous étions tous amis, nous travaillions tous dur et nous nous soutenions mutuellement. À cette époque, j'ai commencé à recevoir de plus en plus d'attention, je réalisais de plus en plus de clips musicaux et je gagnais de plus en plus d'argent. Je pouvais maintenant demander entre 200 et 500 dollars par vidéo, ce qui était beaucoup plus que ce que je gagnais auparavant. J'ai réussi à économiser environ 3000 dollars en l'espace de six mois et j'étais prêt à organiser un spectacle, un plus grand spectacle que jamais auparavant. Mais je voulais que ce spectacle soit différent. Je voulais amener un artiste à Chicago qui n'y était jamais venu auparavant. Je voulais repousser les limites. J'étais fan d'un artiste local de Philadelphie, nommé Lucifer, et je ne connaissais ni Lucifer ni son manager. Pour les spectacles que j'avais déjà organisés, je contactais directement les artistes ou leurs managers, mais je ne pouvais pas faire ça cette fois-ci. Alors je me suis demandé comment je pourrais réserver Lucifer. J'ai donc fait des recherches sur Internet pour savoir comment contacter Lucifer et un site web d'agence est apparu, VP Agency. J'ai appelé et j'ai directement contacté son agent, puis son manager. Ils m'ont dit que Lucifer coûtait 8000 dollars et qu'il fallait verser un acompte de 20%, soit 2000 dollars. J'ai signé le contrat et j'ai viré l'argent cette nuit-là. J'avais réservé Lucifer et le spectacle aurait lieu dans deux mois. Pendant ces deux mois, sa popularité a explosé et c'est devenu un énorme artiste d'ici là. Le spectacle a affiché complet et c'était une sensation incroyable de voir autant de monde. C'était la plus grande salle que nous avions jamais réservée. C'était le meilleur résultat possible, un tournant décisif. À cette époque, je travaillais avec des artistes sur des vidéos comme Famous Dex et Warhol's. Nous réinventions la scène des clips musicaux DIY avec des budgets limités. Comme je l'ai dit, nous n'avions pas beaucoup d'argent, je disposais de quelques centaines de dollars ici et là, alors nous tournions dans des caves, dans la rue, n'importe où. Nous nous amusions avec les montages et les animations, en apportant une nouvelle esthétique aux clips musicaux. Cela a contribué à introduire un nouveau style dans le monde des clips musicaux. À l'époque, les clips musicaux à gros budget devenaient moins courants et l'internet et YouTube étaient en plein essor avec tous ces jeunes artistes du monde entier. Nous nous sommes attaqués à ça et nous avons changé les choses. Avant même que nous nous en rendions compte, nous étions à l'avant-garde de ce nouveau sous-genre émergent du hip-hop, que les gens aiment appeler "SoundCloud rap". J'ai noué des relations avec des personnes comme XXXTentacion, Lil Pump et leurs amis. Nous tournions des vidéos sans vraiment y penser et avant même que je m'en rende compte, je donnais des interviews pour des publications comme Rolling Stone et Billboard Magazine pour parler de tout cela. C'était une période où la frontière entre le mainstream et la scène indépendante était floue. Le mainstream avait les titres diffusés à la radio et les grands festivals, mais l'indépendant avait des chiffres de streaming plus élevés et des bases de fans plus importantes. C'était une période confuse, où la moitié de l'internet et la moitié du monde étaient conscients de ce qui se passait et l'autre moitié était complètement ignorant. C'était vraiment cool de faire partie de tout ça. Alors que tout cela se passait, les choses devenaient de plus en plus sérieuses. L'entreprise grandissait et j'apprenais de plus en plus. Je commençais à recevoir des appels de plus en plus importants d'artistes. Je me souviens un jour d'avoir reçu un message direct sur Instagram de Quavo des Migos. Il m'a appelé et m'a dit : "Si je viens à Atlanta demain, es-tu disponible?" J'ai réservé mon billet d'avion et je suis arrivé le lendemain. Je me souviens d'être arrivé là-bas et d'être extrêmement nerveux parce que je n'avais jamais travaillé avec un artiste aussi important. Les Migos étaient le plus grand groupe de rap du pays, voire du monde entier. Et tout ce que j'avais, c'était moi-même et ma petite caméra Sony A7S II. Je n'avais pas une grosse équipe de production, je n'avais pas d'équipement incroyable, j'avais juste moi-même et ces personnes étaient habituées à tout le faste et le glamour des grandes productions. J'ai montré mes vidéos à Offset et Takeoff et ils étaient tellement excités. Ils m'ont dit que j'étais quelqu'un de spécial. Cela m'a donné la confiance dont j'avais besoin pour continuer. J'ai rentré chez moi, j'ai commencé à monter la vidéo et j'étais tellement excité. C'était tout ce à quoi je pouvais penser. Mais gardez à l'esprit que je n'ai jamais vraiment été en contact avec le manager des Migos ou le label. Je parlais seulement à Quavo. Il était en tournée, c'était un artiste énorme, donc je comprenais pourquoi il me répondait tous les trois jours avec ses commentaires sur la vidéo et les ajustements à apporter. Environ un mois et demi s'est écoulé et je travaillais 12 heures par jour sur cette vidéo. Puis, il m'a dit que nous avions déjà commencé à travailler sur son prochain projet et qu'il pensait mettre celui-ci de côté. J'ai été dévasté. C'était tout ce à quoi je pensais pendant deux mois et je l'avais presque en ma possession, puis tout s'est écroulé. Heureusement, ma mentalité et ma façon optimiste de penser m'ont aidé à surmonter cette déception. J'ai dû me rappeler que je suis le genre de personne qui voit le verre à moitié plein, pas à moitié vide. Je suis retourné au travail, encore plus déterminé.

⭐ L'importance des objectifs 💪

Pendant cette période où j'étais stressé, où il y avait beaucoup de choses à faire, je me suis dit que je devais prendre du recul et retourner vivre chez ma mère pendant un certain temps, pour me ressourcer et faire le point. Je pense qu'il y a vraiment deux types de personnes. Il y a ceux qui aiment être compris et ceux qui aiment comprendre. J'ai rencontré deux personnes en particulier qui, selon moi, sont un mélange spécial des deux. Ce sont des personnes qui sont souvent comprises, mais qui souhaitent toujours en savoir plus sur les autres. C'est très inspirant. J'ai eu la chance de rencontrer Rick Rubin un jour. Si vous le connaissez, vous savez quel genre d'homme il est. C'est une légende. Je suis allé chez lui à Malibu et c'est l'homme le plus attentif que vous puissiez imaginer. Tout dans sa maison est blanc, des murs aux sols, pas de super modernité, juste de la propreté. On se sent libre, c'est comme le paradis sur terre. Je me suis assis et il est venu vers moi avec un sourire et il m'a dit : "Parle-moi de toi". Gardez à l'esprit que j'étais très excité de rencontrer Rick Rubin, c'était un héros de mon enfance et j'étais impatient de lui poser toutes sortes de questions sur son travail avec Johnny Cash, les Beastie Boys, etc. Mais il ne voulait pas parler de lui. Il voulait juste m'écouter, me connaître. Il ne voulait rien en retour, il voulait juste que je parle pendant trois heures. Il était tellement impressionné et cela m'a énormément inspiré. C'était incroyable de se dire : "Comment peux-tu avoir accompli autant de choses et être dans la même pièce qu'une personne aussi jeune et inspirante que moi, et ne pas vouloir me raconter quoi que ce soit ?". Vous êtes fier de ces moments si vous êtes Rick Rubin, vous voulez raconter des histoires, mais il ne voulait tellement pas le faire. Je pense aussi que ce n'est pas une coïncidence s'il porte tous les jours un t-shirt blanc, un short noir et qu'il est pieds nus. Il est lui-même, il est heureux. Il vit sa vie comme il le souhaite. Il est très en phase avec le monde qui l'entoure, et cela me rend heureux.

Une autre personne qui a beaucoup compté pour moi est J Cole. Je me souviendrai toujours du jour où il m'a appelé. J'étais assis dans mon bureau et il m'a appelé pour me parler de la réalisation d'un clip. Mais nous avons rapidement dérivé vers d'autres sujets et il a juste voulu en savoir plus sur moi, sur mon histoire. Nous avons parlé pendant une heure et demie, juste de moi. J'étais tellement confus, il me posait des questions et voulait juste en savoir plus sur moi. C'était vraiment inspirant pour moi. Je pense aussi que ce n'est pas une coïncidence que lorsque j'ai travaillé avec J Cole sur une vidéo, les demandes alimentaires et techniques de l'équipe étaient plus modestes. La plupart des artistes demandent des bouteilles de Belair et de Ciroc, cinq pizzas et 60 000 chicken wings, et lui a juste demandé un sandwich au beurre de cacahuète et à la confiture. C'était incroyable. Cela en dit long sur lui, cela montre à quel point il est ancré dans la réalité. Il a accompli tellement de choses, mais il reste les pieds sur terre et il a une façon optimiste de penser.

🚀 Le défi d'Atlanta 🍑

Au cours de ma carrière, j'ai dû faire face à des défis. L'un de ces défis a été organisé un spectacle à Atlanta. J'ai reçu un appel de Will, le manager de Wiz Khalifa. Il m'a dit que Wiz voulait que je réalise la vidéo de son nouveau single sur son album, en collaboration avec Gucci Mane. J'ai accepté, mais à une condition : la vidéo devait être diffusée sur la chaîne YouTube de Lyrica Lemonade. C'est là que se trouve tout mon contenu et je voulais rester fidèle à cela. Malheureusement, c'était impossible, car Wiz est signé chez un label majeur. Ils ne pouvaient pas accepter cette condition. Mais Wiz voulait vraiment que je réalise la vidéo, alors j'ai décidé de faire une exception. J'ai appelé Will et je lui ai dit que j'acceptais. La semaine suivante, je suis allé à Miami pour tourner la vidéo. C'était ma première fois avec une équipe de tournage et une grosse production. C'était nouveau pour moi, je découvrais tout ça. Sur le plateau, les choses étaient un peu chaotiques, mais la journée se déroulait parfaitement. Wiz était heureux, tout se passait bien. À un moment donné, j'ai reçu un appel de Will, le manager de Wiz. Il m'a dit que Gucci ne pourrait pas être présent sur le tournage le lendemain. J'étais paniqué, car nous devions tourner la scène avec Gucci. Comment pouvions-nous faire sans lui ? Je me suis assis et j'ai réfléchi, stressé. Je ne savais pas quoi faire. Puis, un membre de l'équipe de l'éclairage est venu me voir, un des figurants de la vidéo, un acteur. C'était quelqu'un qui jouait son propre rôle de figurant, un homme barbu avec des shorts en jean courts et une chemise à carreaux coupée. Il m'a regardé dans les yeux et m'a dit : "Tu es un leader, tu dois nous guider". J'étais tellement dépassé par la situation que je ne savais pas quoi faire, mais ce qu'il a dit m'a donné une force nouvelle. Il a rallumé la flamme en moi. J'ai attrapé un membre de l'équipe de l'éclairage et je lui ai dit : "Tu vas apprendre le couplet de Gucci, tu vas le jouer dans la vidéo". Il a appris tout le couplet de Gucci et nous l'avons intégré à la vidéo. Une semaine plus tard, j'ai reçu un appel : Gucci voulait participer à la vidéo finalement. Nous avons dû faire une journée de tournage supplémentaire, qui ne s'est pas déroulée exactement comme prévu, mais c'était un bon moment.

🎤 Le succès du Lyrica Lemonade Summer Smash 🍹

L'année dernière, nous avons organisé notre premier festival, le Lyrica Lemonade Summer Smash. Nous avons accueilli 11 000 personnes, c'était complet. Je me souviens être monté sur scène et avoir regardé cette foule de gens, puis avoir regardé par-dessus cette foule et avoir vu le stand de citronnade que nous avions installé. Ma famille y travaillait, ma mère, ma sœur, mon beau-frère. Ils tenaient le stand de citronnade, et savoir qu'ils étaient là, que tout se passait devant plus de 11 000 personnes, cela m'a fait réaliser ce qui se passait. Je repensais à l'époque où je regardais ma mère depuis ma cuisine, et elle disait "Lyrica Lemonade". C'était un moment très fort pour moi, et cela m'a fait prendre conscience que l'on peut vraiment accomplir tout ce à quoi on aspire. Je crois sincèrement que n'importe qui peut le faire. Tout est dans notre état d'esprit. Cela peut sembler cliché, mais c'est la vérité. Nous devons voir et apprécier les choses pour ce qu'elles sont vraiment.

🔥 La leçon de persévérance 🔥

Tout au long de mon parcours, j'ai appris des leçons précieuses. J'ai compris que nous devons être des résolveurs de problèmes, que parfois il n'y a pas de solution au problème, et que le fait de l'accepter fait partie de la résolution du problème. Lorsque j'ai traversé une période difficile après Atlanta, j'ai dû revenir à ma mentalité lorsque j'étais déprimé, lorsque je me demandais si je devais rester à l'école ou non, lorsque je n'arrivais pas à équilibrer les choses. J'ai dû me rappeler ce que c'était que de prendre vraiment les choses en main. J'ai dû me redresser après chaque échec et continuer. J'ai dû me rappeler que je suis un optimiste, que je suis une personne qui voit le verre à moitié plein. Cela m'a aidé à me relever et à continuer à avancer.

J'ai beaucoup de chance d'avoir vécu toutes les expériences que j'ai vécues et d'avoir appris tout ce que j'ai appris. Je ne pense sincèrement pas que j'en serais arrivé là si je n'avais pas eu la mentalité que j'ai. Il faut être résolveur de problèmes et comprendre qu'il n'y a parfois pas de solution, et c'est la clé de la résolution des problèmes. J'ai également réalisé que nous devons apprécier les choses pour ce qu'elles valent vraiment. Le succès est une accumulation d'expériences, de leçons apprises et de moments inoubliables.

Conclusion

En conclusion, je peux dire que la mentalité optimiste est la clé du succès. Cela nous pousse à persévérer, à surmonter les obstacles et à atteindre nos objectifs. J'ai pu expérimenter cela tout au long de mon parcours en tant que créateur de contenu et réalisateur de vidéos musicales. J'ai travaillé avec des artistes incroyables, j'ai vécu des moments magiques et j'ai réussi à créer quelque chose qui a changé ma vie et celle des autres. Je suis reconnaissant d'avoir pu partager cette histoire avec vous et j'espère qu'elle pourra inspirer d'autres personnes à suivre leurs rêves et à ne jamais abandonner.

FAQ

Q: Comment avez-vous réussi à faire votre première vidéo musicale avec un artiste connu ?

R: J'ai eu la chance de recevoir un appel de l'agent de l'artiste qui m'a demandé de réaliser la vidéo. J'ai saisi cette opportunité et j'ai travaillé dur pour faire en sorte que tout se passe bien.

Q: Comment avez-vous géré le stress et les défis tout au long de votre parcours ?

R: La clé est de rester optimiste et de garder une mentalité de résolution de problèmes. Il y a des hauts et des bas, mais l'important est de ne jamais abandonner et de continuer à avancer.

Q: Quels conseils donneriez-vous à ceux qui veulent suivre vos traces ?

R: Gardez toujours une attitude positive, fixez-vous des objectifs réalistes et travaillez dur pour les atteindre. Ne laissez pas les obstacles vous empêcher de réaliser vos rêves.

Q: Quel est votre plus grand accomplissement jusqu'à présent ?

R: Organiser le Lyrica Lemonade Summer Smash a été un immense succès pour moi. Voir plus de 11 000 personnes assister à l'événement a été une expérience incroyable et cela m'a montré jusqu'où j'ai pu aller grâce à ma mentalité optimiste et ma persévérance.